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Vivez votre passion, apprenez la photographie ! Mes cours sont simples et efficaces. Ils ont été sans cesse améliorés grâce à mes plus de 200 élèves.
Tirages d'art
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Alexandre Gendron
Photographe professionnel et formateur photo depuis de nombreuses années. Je mets mes compétences à votre service.
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Avant de vous donner un cours photo, j'ai envie de me présenter et de vous partager ma façon de voir les choses. C'est l'objectif de cet article dans lequel je reviens sur les événements qui m'ont poussé vers l'enseignement.

Mes débuts de photographe

Vous pouvez retrouver pleins d'informations sur qui je suis dans la page à propos mais ici, parlons plus précisément de mon parcours de formateur et donc de photographe. J'ai tout d'abord commencé la photographie en 2002, date à laquelle j'ai acheté mon premier appareil photo après des mois d'économies, un Nikon coolpix 2000 avec, tenez vous bien, 2 Millions de pixels!! Une bête de course. Je vous met d'ailleurs une petite photo pour vous donner une idée...

Nikon Coolpix 2000

J'ai énormément utilisé cet appareil photo qui n'avait même pas de mode PASM (nous verrons ce que ça veut dire dans un prochain article) mais j'ai pu commencer à créer des photos sans rien y connaître à l'époque. J'avais auparavant utilisé un argentique emprunté à mon père mais la seule pellicule que j'avais utilisé avec ne m'avait dévoilé que des photos floues... assez artistiques certes mais rien à voir avec ce que je voulais créer. D'ailleurs, le labo de développement ne m'avait même pas facturé le développement de la pellicule tellement ils étaient désolés pour moi. Cet appareil photo a malheureusement fini fondu dans ma voiture qui a décidé de subitement prendre feu en pleine nuit alors que j'étais au volant...

Lorsque j'étais en BTS informatique, j'ai dû réaliser un stage en entreprise dans le développement de sites web, et après quelques recherches j'ai réussi à trouver un stage chez un photographe qui faisait également quelques sites web en parallèle. C'était à l'autre bout de Paris et j'en avais pour quasiment quatre heures de train aller/retour chaque jour. C'était la première fois que je découvrais la photographie de studio, avec des modèles, des flashs, et des produits à mettre en valeur. J'ai donc contribué très succinctement à la création de photos pour un catalogue de la marque Le Tanneur entre autre. Après ce stage, je savais que c'était ce que je voulais faire et avec l'argent que j'y avais gagné, j'ai pu m'acheter un Canon EOS 20D d'occasion, mon premier reflex.

Une évolution timide

C'est là que les choses ont commencé. L'avantage du numérique c'est qu'on peut s'entraîner à l'infini, ça ne coûte rien, on a les résultats instantanément et on peut donc progresser rapidement. En parallèle de mes études, d'abord en BTS puis en Master 2, j'ai commencé à faire de la photographie. Je me suis entraîné avec des modèles, et j'ai appris à utiliser Photoshop 7 grâce à un livre.

Ma technique pour apprendre de nouvelles techniques, c'est de m'enfermer avec un ou plusieurs livres sur le sujet à étudier sans distraction aucune le temps de maîtriser le sujet. C'est vachement plus difficile aujourd'hui avec toutes les distractions du quotidien, mais avec un peu de rigueur c'est toujours possible.

Après un petit moment à m'entraîner, j'ai commencé à avoir mes premières demande de mariage par le bouche à oreille. Ça me rapportait un peu d'argent de poche en parallèle de mes études et c'était plutôt agréable. J'ai ensuite terminé mes études et j'ai travaillé en entreprise assez rapidement. J'ai donc eu plusieurs contrat CDD qui se sont poursuivi par un CDI. Ça a duré trois ans, pendant lesquels j'étais chef de projets à temps plein mais également photographe le soir et les weekends. Je faisais à l'époque des photos pour des agences de pub, Peugeot, C-discount, des mariages, des modèles etc... À un moment je gagnais même plus avec la photographie qu'avec mon job à temps plein. C'était fou!

Mes premiers pas de formateur

Une collègue, photographe également, m'a demandé de lui donner des cours. C'était la première fois et je n'étais alors pas très pédagogue... Je n'arrivais pas à expliquer simplement ce que j'avais appris et ce que je faisais avec mon appareil. Elle a quand même pris plusieurs cours avec moi mais mon expérience de prof s'arrêta là car je ne me sentais pas suffisamment à l'aise à l'époque.

S'en est suivi par une dépression liée à mon emploi de chef de projet, ce n'était pas du tout ce à quoi j'aspirais mais la pression sociale peut vous faire prendre certaines décision qui ne sont pas toujours très logique. J'aimais le confort d'avoir un salaire récurrent et mes habitudes de consommation étaient alors bien en place. C'était très dur de tout quitter pour un travail de photographe qui n'offrait alors pas de revenus assurés.

Après de nombreuses réflexions et la dépression aidant, j'ai alors décidé de tout quitter et je suis parti vivre en Australie pour un an puis en Nouvelle Zélande pour un an et demi. J'ai commencé à faire de la photo mon emploi à temps plein et ai continué à progresser. Je suis ensuite parti de Nouvelle Zélande à vélo et en bateau stop jusqu'au Vietnam.

Première formation de groupe

C'est au Vietnam, à Hoi An, où j'habitais depuis 6 mois que l'on m'a demandé de donner des cours photos à des Digital Nomads dans un espace de coworking. J'ai accepté, et j'ai eu 4 jours pour créer le support de cours.

Mon objectif était de vulgariser au maximum les aspects techniques de la photographie, d'y ajouter des exercices de mise en pratique de la théorie, pour rendre mes élèves le plus autonome possible en un cours d'une journée. Ils ont tous été ravis et le cours leur a plu. Le fait de les voir comprendre et mettre en pratique avec succès tout ce que je leur avait appris, m'a donné envie de continuer.

Une formation aboutie

Aujourd'hui, mon cours a bien évolué et ceci grâce à l'aide de mes nombreux élèves, de leurs erreures et de leur questions. Je dois en avoir eu plus de 150 à travers le monde à l'heure où j'écris cet article (Novembre 2021) et mon cours a bien évolué. Désormais je peux vous apprendre les bases de la photographie en seulement 2h de cours particuliers ou 3h de cours collectifs. J'ai une méthode qui fonctionne et qui est approuvée par mes nombreux élèves.

Cette méthode c'est de simplifier au maximum la photographie, less is more est mon dicton favori. Ensuite, c'est de pousser les élèves à mettre en pratique ce que l'on a vu et les laisser se tromper. Car en lisant on comprends, en faisant on apprends et en se trompant on retient la bonne façon de faire.

Cycle de l'apprentissage d'une compétence

Voilà, c'est ma pedagogie, et elle fonctionne plutôt bien à en voir les résultats.

un livre de formation en approche

Je suis actuellement en train de travailler sur un livre de formation à la photo, pour permettre à un maximum de personnes de bénéficier de cette pédagogie sans pour autant avoir besoin de prendre des cours en présentiel avec moi. Ce livre, je vais en écrire les premiers chapitres sous forme d'articles de blog ici même, alors n'hésitez pas à me donner votre avis et à me poser vos questions pour que je l'améliore.

C'est avec vous et grâce à vous que j'ai fait évoluer ma formation où elle en est actuellement. Donc merci.

Je lance dès aujourd'hui les capsules en tirages d'art et je commence par une série de photos prises depuis le bord du lac d'Annecy. Mais tout d'abord, voyons voir ce qu'est une capsule et un tirage d'art.

La capsule

Une capsule c'est une petite série de produits ayant un thème commun. Ici, des photos dont le thème est d'avoir été prises en noir et blanc depuis le bord du lac d'Annecy ou de la route qui en fait le tour. Chaque capsule contiendra de 10 à 15 photos qui seront imprimées en tirage d'art.

Le tirage d'art

Le tirage d'art définit une photo dont le nombre d'impressions maximum tout support et tailles confondus est de 30 exemplaires. Sur ces 30 exemplaires, je souhaite garder 5 exemplaires pour mon utilisation personnelle, pour des expos, de la location, ou simplement pour accrocher chez moi. Il reste donc 25 exemplaires disponibles à la vente pour chaque photo. Étant donné que le nombre de tirages est limité pour ces photos, le tarif est un peu plus élevé que pour mes anciennes photos dont le nombre de reproduction était illimité.

Avec chaque photo achetée, vous recevez un certificat signé avec le numéro de l'image en question et sa numérotation dans la série x/30.

Il est à noter que le traitement de l'image compte dans ce qui est considéré comme une photo. Par exemple avec une même photo, je peux sortir une version couleur et une version noir et blanc. On sera donc en présence de deux photos distinctes.

Les formats et supports

Afin de permettre à chacun d'obtenir une photos, les 25 photos disponibles à la vente seront imprimées en 5 tailles différentes et trois supports, pour des prix allant de 120€ à 1860€:

TaillesSupportOption d'EncadrementTarif
20x30Papier d'artNon applicable120€
40x60Papier d'artNon applicable160€
Alu Dibond 3mmCaisse américaine (+107€)240€
60x90Papier d'artNon applicable180€
Alu Dibond 3mmCaisse américaine(+145€)330€
70x105Alu Dibond 3mmCaisse américaine (+165€)560€
Plexicollage Art 8mmCaisse américaine (+165€)860€
100x150Alu Dibond 3mmCaisse américaine (+225€)1220€
Plexicollage Art 8mmCaisse américaine(+225€)1860€


Chaque image est disponible en 5 tailles et dans chaque taille vous avez donc une à deux options de support disponible.

Les photos: Depuis les bords du lac d'Annecy en Noir et Blanc.

Comment acheter?

Pour le moment les images d'art ne sont pas encore disponibles sur la boutique. Pour les acquerir, le temps que je les ajoute, vous pouvez directement me contacter.

Cascade de Pissieu - Recette photo

Être photographe aujourd’hui nécessite de devoir recharger ses batteries. Celles de votre appareil photo mais aussi celles de votre ordinateur, de votre téléphone, de votre GoPro et sûrement de votre lampe frontale. Lorsque l’on est en voyage classique, c’est assez simple, il suffit d’aller à l’hôtel ou dans un café, de brancher ses équipements et le tour est joué. Cependant, ce n’est pas toujours si facile, surtout lorsqu’on voyage dans des endroits reculés comme à vélo ou en trek et qu’il n’y a ni hôtel, ni café. Alors comment être autonome en énergie n’importe où et n’importe quand? 

L’AUTONOMIE ÉNERGÉTIQUE EN VOYAGE / AVENTURE

LA DYNAMO POUR LE VOYAGE À VÉLO

Lors de voyages à vélo il existe deux solutions pour emmagasiner de l’énergie. Celle produite quotidiennement lors de nos déplacements, et celle offerte par la nature, l’énergie solaire. 

L’énergie produite par le vélo lorsque l’on roule est transformée en électricité grâce à une dynamo qui se trouve dans le moyeu de la roue avant et n’exerce aucun frein perceptible au pédalage comme pouvaient le faire les anciennes dynamos. Cette énergie est alors disponible en direct grâce à une prise USB qui se trouve au niveau de la potence du vélo.

Lorsque j’ai réalisé mon voyage à vélo d’un et demie, j’avais le plug 5 qui marchait trés bien sur routes mais difficilement à faible vitesse sur pistes ou dans le désert. Les produits ont bien évolué depuis et il est maintenant possible d’avoir une batterie tampon qui permet de lisser les apports en énergie et donc d’avoir un courant stable peu importe la vitesse et même lors des arrêts.

Sur la sortie USB, vous avez le choix de brancher directement votre téléphone, GPS ou lumière pour les charger en direct ou alors une batterie externe pour accumuler l’énergie et recharger vos appareils plus tard.

La puissance de sortie dépend de votre moyeux et de votre vitesse. Les moyeux permettent d’avoir une sortie de 1,5 watts à 3 watts. Plus vous roulerez vite, plus la puissance de sortie sera importante. Cette puissance est parfaite pour charger des petits appareils. Pour ce qui est plus gros, comme un ordinateur portable, il sera plus intéressant d’utiliser des panneaux solaires couplés à une batterie externe car ceux-ci permettent de générer 20 watts voir plus et les batteries externe de restituer jusqu’à 100 watts.

LE PANNEAU SOLAIRE POUR LE VOYAGE À VÉLO OU À PIED

L’énergie solaire est ce qu’il y a de plus pratique pour pouvoir recharger des batteries lorsqu’on est loin d’une prise murale. C’est assez petit et ça permet de délivrer assez de puissance pour recharger une batterie externe de 15 000 mAh en une journée bien ensoleillée. La panneau solaire se fixera à l’arrière du vélo ou bien sur un sac à dos. Il sera préférable de le brancher à une batterie externe plutôt que directement sur un appareil car la sortie n’est jamais vraiment stable, elle dépend de l’ensoleillement.

Aujourd’hui, le panneau le plus fiable et le plus performant est le Anker 21 Watts. Lorsque je faisais mon voyage à vélo j’utilisais un Goal Zero qui n’était vraiment pas performant et qui se mettait en sécurité lorsqu’il faisait trop chaud. J’ai rencontré plusieurs voyageurs à vélo qui utilisaient le Anker 21W, c’est aujourd’hui encore la référence. Il fonctionne très bien même par temps couvert. Sur certains appareils, après le passage d’un nuage il faut débrancher et rebrancher la batterie pour qu’elle continue sa charge. Sur le Anker c’est très bien géré automatiquement. C’est donc celui que je recommanderais.

LA BATTERIE EXTERNE POUR LE VOYAGE À VÉLO OU À PIED

La sortie d’un panneau solaire n’étant pas stable il est préférable d’y connecter une batterie externe plutot que directement un appareil électronique. A l’époque, j’utilisais une batterie spécifique pour mon macbook air. Les temps ont changés et avec l’arrivée de l’USB-C on peut utiliser n’importe quelle batterie tant qu’elle est pourvu d’une sortie PD (Power Delivery) de plus de 29W.

Il faut savoir que plus l’ordinateur sera puissant, plus il demandera d’énergie. Par exemple un macbook air est parfait comme odinateur nomade car un chargeur avec une PD de 45w permettra de le charger correctement tandis que sur un Macbook Pro 15″ ce même chargeur ne fera que maintenir le niveau de charge de la batterie.

Donc le mieux est de trouver un chargeur dont la PD est la plus grande possible pour être à l’aise avec l’ensemble de vos appareils multimédia. Privilégier un ordinateur 13″ maximum avec port USB-C.

Après un comparatif de performance sur l’ensemble des batteries externes du marché, je pense que les meilleures batteries externes actuellement sont les Anker PowerCore III Elite avec une sortie PD de 60W et la Zendure Super Tank avec une sortie PD de 100W jusqu’à 50% de charge puis 60W en dessous. Les deux sont capable de charger un MacbookPro 15″.

FAITES DES TESTS PRÉALABLES

Il serait dommage de vous rendre compte lors de votre aventure que ça ne marche pas comme prévu. Je vous recommande donc de faire des tests préalable à votre aventure. Il existe un super soft sur Mac pour étudier tous les paramètres de charge de votre ordinateur. Il s’agit de CoconutBattery

Chargez votre powerbank avec votre panneau solaire en chronométrant le temps de charge, puis chargez votre ordinateur (matériel le plus gourmand) avec votre powerbank et faites des tests avec vos logiciels d’édition photo/vidéo et étudiez le niveau de charge avec coconutbattery pour voir comment se comporte votre batterie externe. 

Sachez qu’il est toujours bon de redonner un petit coup de boost une fois de temps en temps en rechargeant votre batterie externe sur secteur au moins une fois par mois.

CONCLUSION

Vous voilà donc prêt(e)s à partir sereinement! Si vous avez quelque chose à ajouter à cet article, une remarque ou des questions, vous pouvez commenter ci-dessous. 

En 2016, je suis parti de Nouvelle Zélande avec pour objectif de rejoindre la France le tout en utilisant aussi peu que possible l’utilisation de moteurs. J’ai donc voyagé à vélo et bateau stop pendant un an et demie. Découvrez comment j’ai réussi à travailler et voyager à vélo en passant dans des zones non couvertes par le réseau téléphonique.

Connaissez-vous Coworkees? C’est un site internet dont l’objectif est de mettre en relation des entreprises avec des freelances. Ils organisent les cafés freelances qui permettent aux freelances de se rencontrer et de réseauter.

Lors de chaque café freelance, 3 freelances présentent chacun un speech sur le sujet de son choix en lien avec la vie de freelance. Chaque présentation doit respecter un format bien précis: 5 minutes / 15 slides de 20 secondes chacun.

Depuis l’événement du coronavirus, les cafés freelance ne se font plus en physique mais sur internet. Voici donc ma présentation vidéo enregistrée.

Yves Pollet-Villard

Ouverte en 1998, la Via Ferrata Yves Pollet-Villard porte son nom en hommage à l’alpiniste, guide et professeur à l’ENSA de Chamonix, devenu maire de La Clusaz en 1961. Il périra le 7 juin 1981 sur le versant Italien du Mont Blanc. 

C’est une Via Ferrata cotée D, difficile avec un passage en D+ si vous choisissez de sortir par le surplomb final.  Elle exposée plein sud et principalement composée de calcaire.  L’ensemble est assez patiné, glissant par temps sec et humide, je vous la déconseille par temps de pluvieux. 

Il faudra compter 20 minutes d’approche assez verticale depuis le parking de la via. Il existe un second parking plus grand à 200 mètres en contrebas. La Via dure environ 2h pour 700 mètres de long et 300 mètres de dénivelé positif. Elle est très bien équipée et il y a beaucoup de contact avec le rocher ce qui est agréable. Elle est fermée du 15 novembre au 5 mai. Donc en dehors de sa période d’ouverture, n’hésitez pas à vous renseigner auprès de l’office de tourisme. 

Une fois arrivés au bout de la Via, il est possible de continuer à marcher pour arriver à un point de vue assez impressionnant sur le massif du Mont Blanc et du Beaufortain. C’est là haut que nous avons mangés. Accompagnés par un aigle et des chocards à bec jaune. 

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