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Alexandre Gendron
Photographe professionnel et formateur photo depuis de nombreuses années. Je mets mes compétences à votre service.
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La formation photo

Comme vous le savez sûrement, une de mes activités principales est la formation à la photographie. C'est dans ce cadre que j'ai formé Alexandre J. employé de l'office de tourisme de Chamonix. Sur quinze heures de formation, le plus gros module était ce bivouac au Signal Forbes durant lequel nous avons mis en oeuvre les enseignements appris au cours des précédents modules.

Sans surprise, Alexandre était assez autonome car mon objectif lors de mes formations est de transmettre des informations clés pour rendre mes élèves autonomes le plus rapidement possible. J'en ai donc profité pour faire moi aussi quelques photos. Et nous avons eu de la chance, nous somme passés entre les gouttes et le ciel s'est même dégagé dans la nuit pour nous laisser photographier la voie lactée.

Une montée à bord du Montenvers

C'était la première fois que je prenais ce train mythique et nous avons eu la chance de l'avoir quasiment pour nous étant donné que nous avons embarqué en fin de journée. La plupart des passagers redescendaient sur Chamonix et les trains que l'on a croisés étaient en effet tous remplis.

Train de Montenvers en direction de la mer de glace à Chamonix et du Signal Forbes - Photo par Alexandre Gendron
Train de Montenvers en direction de la mer de glace à Chamonix et du Signal Forbes - Photo par Alexandre Gendron

Le train monte fort, et les paysages s'enchainent. On voit petit à petit la ville de Chamonix devenir de plus en plus petite et les aiguilles se rapprocher. Cette vue est à couper le souffle.

Train de Montenvers en direction de la mer de glace à Chamonix et du Signal Forbes - Photo par Alexandre Gendron
Train de Montenvers en direction de la mer de glace à Chamonix et du Signal Forbes - Photo par Alexandre Gendron

La mer de glace

C'est également la première fois que je vois la mer de glace, ou du moins ce qu'il en reste, et les effets du réchauffement climatique sont bel et bien visibles. Surtout lorsque l'on voit l'état de la mer de glace seulement quelques dizaines d'années plus tôt sur les photos qui illustrent la gare d'arrivée du Montenvers. Alexandre me dit que chaque année, 40 marches sont ajoutées pour permettre aux visiteurs de continuer à rejoindre le glacier. 40 marches par an c'est beaucoup pour un glacier.

gare de Montenvers à Chamonix au départ de la randonnée du Signal Forbes - Photo par Alexandre Gendron
Chamonix, randonnée en direction du Signal Forbes - Photo par Alexandre Gendron

Depuis la gare d'arrivée, nous pouvons partir en direction du Signal Forbes, lieu de notre bivouac. A la montée nous enchainons les lacets et les vues à couper le souffle. J'en profite pour me faire un panoramique HDR d'un des lacets donnant sur la mer de glace.

Chemin de randonnée surplombant la mer de glace en direction du Signal Forbes - Photo par Alexandre Gendron

Une fois arrivés au Signal Forbes, je trouve que nous sommes encore un peu bas alors je propose que nous montions encore un peu histoire de trouver le spot idéal. Nous finirons par le trouver, au sommet de la falaise donnant sur la mer de glace et au pied de l'aiguille des Grand Charmoz.

Le bivouac

D'ordinaire je n'utilise plus de tente en bivouac, c'est encombrant et le vue y est moins belle qu'à la belle étoile. Exceptionnellement et comme il y avait des risques de pluie, j'ai pris la tente. Ça reste quand même un beau sujet pour les photos de nuit. Je ne regratterai pas vu l'humidité une fois la nuit tombée.

tentes installées au Signal Forbes devant les aiguilles rouges - Photo par Alexandre Gendron
tente MSR HubaHuba au Signal Forbes devant les drus - Photo par Alexandre Gendron
vue de la mer de glace depuis la tente MSR HubaHuba au Signal Forbes - Photo par Alexandre Gendron

Ma tente adossée à ces rochers ressemblerait presque à l'opéra de Sydney. Nous sommes en place, la nuit peut commencer.

Photos de nuit

L'objectif de bivouac était de créer des photos de nuit et nous avons eu la chance d'avoir une éclaircie vers 1h30 du matin pour pouvoir prendre ces photos. J'en profite pour recréer des photos qui furent ma signature durant mes années de voyage en Australie et Nouvelle Zélande, l'autoportrait réalisé à l'aide d'une télécommande.

tente MSR HubaHuba au Signal Forbes de nuit - Photo par Alexandre Gendron
autoportrait avec tente MSR HubaHuba au Signal Forbes de nuit - Photo par Alexandre Gendron

La nuit fut courte mais nous avons réussi à créer de belles photos alors tout va bien. Au réveil, la lumière était moyenne compte tenu des nuages. Nous avons attendus jusqu'à 8h que le soleil passe au dessus des drus et les lumières devinrent sublimes pour les photos. vers 5h, nous avons aperçu quelques animaux...

Mer de glace et tente MSR HubaHuba au Signal Forbes devant les drus - Photo par Alexandre Gendron

De nombreux animaux

LA veille au soir nous l'avions déjà entendu et aperçu mais al lumière n'était pas suffisamment bonne pour le photographier. Heureusement le lendemain matin, nous l'avons entendu et vu. Sa curiosité m'a permis de la photographier d'assez prés. Je parle du Lagopède. Nous avons vu un couple qui avait perdu son plumage blanc d'hiver et arboré son plumage d'été.

Lagopède au Signal Forbes devant les drus - Photo par Alexandre Gendron
Lagopède au Signal Forbes devant les drus - Photo par Alexandre Gendron

Lagopède au Signal Forbes devant les drus - Photo par Alexandre Gendron

Lagopède au Signal Forbes devant les drus - Photo par Alexandre Gendron

J'ai même pu l'observer en vol alors que cela est plutôt rare car il préfère marcher que voler. Nous avons également pu observer deux chamois. Curieux eux-aussi de notre présence.

Chamois au Signal Forbes devant les drus - Photo par Alexandre Gendron
Chamois au Signal Forbes devant les drus - Photo par Alexandre Gendron
Chamois au Signal Forbes devant les drus - Photo par Alexandre Gendron

et en repartant nous aperçu quelques marmottes qui prenaient le soleil et n'étaient pas farouches non plus.

Marmottes au Signal Forbes devant les drus - Photo par Alexandre Gendron

Nous avons repris le train de Montenvers pour redescendre et ainsi s'acheva la formation de 15 heures suivie par Alexandre J. J'ai clairement pris plaisir à suivre un élève sur une formation plus longue que d'habitude et de pouvoir vois son évolution dans l'utilisation de son appareil photo.

Si vous aussi vous voulez vous former à la photographie avec moi, vous pouvez toujours me contacter ou réserver une formation ici.

A bientôt pour de nouvelles aventures.

Comme beaucoup d’entre vous m’ont demandé quel était mon équipement pour bivouaquer sur la neige et prendre des photos d’étoiles, j’ai décidé de tout vous expliquer dans cet article. 

Il y a de multiples façons de bivouaquer dans la neige mais celle que je préfère, c’est à la belle étoile. La tente permet d’apporter une protection contre les éléments, pluie, neige, vent, etc… Cependant, pour vérifier l’état du ciel et faire des photos, il faut sortir la tête de la tente ce qui n’est pas pratique et prends du temps. A la belle étoile, il suffit d’ouvrir les yeux pour admirer le ciel et observer les étoiles. Vous pourrez même prendre des photos depuis votre duvet, le luxe! Et enfin, vous augmenterez considérablement vos chances de faire des voeux avec toutes les étoiles filantes que vous verrez. 

Pour dormir sur la neige, il vous faudra deux choses extrêmement importantes: 

En bonus, je vous recommande: 

La bonne combinaison entre un tapis de sol isolé et duvet chaud est la clef d’un bivouac réussi et agréable. Voyons plus en détails comment choisir vos équipements: 

Le tapis de sol isolé

Le tapis de sol isolé vous permet de ne pas perde votre température par le sol. L’isolation d’un tapis de sol est notée R. Cette valeur va de 1 à 10 voir plus. C’est la norme internationale ASTM F3340-18 qui permet de définir la valeur R d’un matelas. 

En général, sur la neige, il vous faudra un tapis de sol ayant une valeur R au moins égale à 4. Le tapis de sol que j’utilise est un Sea to Summit Comfort plus insulated. Il possède une valeur R de 4 et est parfait pour dormir sur la neige. C’est un investissement car il coûte dans les 230 euros mais j’utilise intensément le miens depuis 2016 et il est toujours comme neuf.

Je vais écrire un article spécialisé sur le choix de votre tapis de sol très bientôt mais en attendant, vous trouverez quelques recommendations de tapis ici: 

Sea To Summit Insulated R4
Sea To Summit Ether Light X Trem R6
Thermarest Trail Pro R4.4

Le sac de couchage

Le sac de couchage est également un élément clef. C’est votre cocon. Il est super important de savoir qu’en cas de problème, vous pouvez trouver un refuge confortable dans votre sac de couchage à tout moment. 

Je me souviens d’une randonnée que j’ai fait en Nouvelle Zélande vers Earnslaw Glacier auquel on peut uniquement accéder après 6h de marche. Il n’y a pas de refuge, pas de couverture téléphonique, vous êtes livrés à vous même, seul au monde. Lorsque j’y suis allé, il pleuvait la majeur partie du chemin puis, plus je me rapprochait du glacier, plus la pluie se transformait en grêle. Le vent était déchaîné, les températures étaient négatives, tout était gelé. J’étais littéralement trempé jusqu’aux os malgré mon pantalon de pluie et ma veste Gore-tex. Le fait de savoir que j’avais mon duvet et que je pourrais m’y réchauffer, m’a permis de tenir mentalement et de continuer à avancer jusqu’au pied du glacier. Vous pouvez d'ailleurs lire mon article sur cette randonnée ici: http://www.ag-photo.fr/wp-content/uploads/2021/09/Earnslaw-Glacier-dec-jan-16.pdf

Les sacs de couchage sont classés selon trois températures:

Pour l’utiliser sur la neige, il faudra un sac qui a une température de confort au moins égale à -10°C. Attention car certaines marques comme Thermarest communiquent avec la température limite ce qui n’est pas trés juste car c’est la température à partir de laquelle vous ressentez le froid dans le duvet, autant vous dire que vous ne dormirez pas de façon confortable et détendue à cette température annoncée. 

Concernant la garniture, je préfère de loin le duvet d’Oie qui est plus chaud et plus compréssible que le synthétique. Il aura également une durée de vie plus important. J’ai mon duvet depuis 2012 et il fonctionne toujours à merveille aujourd’hui. C’est un Jack Wolfskin Frostfire qui malheureusement n’est plus produit mais je vous ai trouvé quelques sacs qui seront parfait pour ce type d’aventures.

Le prix d’un sac de couchage est assez élevé mais ici, je vous conseille de ne pas négliger la qualité du sac choisi. Il vous durera des années et sera votre bouée de secours en cas de conditions extrêmes.  

Je vais écrire un article plus détaillé sur le choix de votre sac de couchage trés bientôt mais en attendant, vous trouverez quelques recommendations de sac ici: 

Thermarest Oberon Confort -10°C
Mountain Equipment Confort -11°C
Mountain Equipment Confort -9°C Femme

Le drap de soie (en bonus)

Pour ne pas transpirer directement dans votre sac de couchage et donc limiter le nombre de lavages, qui abiment votre sac et lui font perdre ses qualités d’isolation, je vous conseille d’utiliser un drap de soie. En plus, il vous apportera de la chaleur supplémentaire. 

Il n’y a pas grand chose à savoir sur les draps de soie. Vous pourrez choisir un simple drap de soie ou un drap en microfibres qui vous apportera de la chaleur supplémentaire comme le Thermolite Reactor de chez Sea To Summit. Voici une petite sélection de produits intéressants : 

Drap de soie pour sac de couchage
Drap Thermolite reactor

Avec ces trois must have pour le bivouac, vous pourrez partir bivouaquer l’esprit tranquille. 

Pour plus de confort, j’utilise un coussin gonflable mais vous pourrez vous en fabriquer un avec votre doudoune. Pour le Thermos, j’utilise un Thermos de la marque Thermos qui convient très bien et permet de garder une boisson chaude pendant 24h même posé dans la neige. 

Avec tout ça, je vous promet de belles soirées au chaud, sur la neige, sous les étoiles. Si vous avez des questions utilisez les commentaires ci-dessous. Bon bivouac!

Être photographe aujourd’hui nécessite de devoir recharger ses batteries. Celles de votre appareil photo mais aussi celles de votre ordinateur, de votre téléphone, de votre GoPro et sûrement de votre lampe frontale. Lorsque l’on est en voyage classique, c’est assez simple, il suffit d’aller à l’hôtel ou dans un café, de brancher ses équipements et le tour est joué. Cependant, ce n’est pas toujours si facile, surtout lorsqu’on voyage dans des endroits reculés comme à vélo ou en trek et qu’il n’y a ni hôtel, ni café. Alors comment être autonome en énergie n’importe où et n’importe quand? 

L’AUTONOMIE ÉNERGÉTIQUE EN VOYAGE / AVENTURE

LA DYNAMO POUR LE VOYAGE À VÉLO

Lors de voyages à vélo il existe deux solutions pour emmagasiner de l’énergie. Celle produite quotidiennement lors de nos déplacements, et celle offerte par la nature, l’énergie solaire. 

L’énergie produite par le vélo lorsque l’on roule est transformée en électricité grâce à une dynamo qui se trouve dans le moyeu de la roue avant et n’exerce aucun frein perceptible au pédalage comme pouvaient le faire les anciennes dynamos. Cette énergie est alors disponible en direct grâce à une prise USB qui se trouve au niveau de la potence du vélo.

Lorsque j’ai réalisé mon voyage à vélo d’un et demie, j’avais le plug 5 qui marchait trés bien sur routes mais difficilement à faible vitesse sur pistes ou dans le désert. Les produits ont bien évolué depuis et il est maintenant possible d’avoir une batterie tampon qui permet de lisser les apports en énergie et donc d’avoir un courant stable peu importe la vitesse et même lors des arrêts.

Sur la sortie USB, vous avez le choix de brancher directement votre téléphone, GPS ou lumière pour les charger en direct ou alors une batterie externe pour accumuler l’énergie et recharger vos appareils plus tard.

La puissance de sortie dépend de votre moyeux et de votre vitesse. Les moyeux permettent d’avoir une sortie de 1,5 watts à 3 watts. Plus vous roulerez vite, plus la puissance de sortie sera importante. Cette puissance est parfaite pour charger des petits appareils. Pour ce qui est plus gros, comme un ordinateur portable, il sera plus intéressant d’utiliser des panneaux solaires couplés à une batterie externe car ceux-ci permettent de générer 20 watts voir plus et les batteries externe de restituer jusqu’à 100 watts.

LE PANNEAU SOLAIRE POUR LE VOYAGE À VÉLO OU À PIED

L’énergie solaire est ce qu’il y a de plus pratique pour pouvoir recharger des batteries lorsqu’on est loin d’une prise murale. C’est assez petit et ça permet de délivrer assez de puissance pour recharger une batterie externe de 15 000 mAh en une journée bien ensoleillée. La panneau solaire se fixera à l’arrière du vélo ou bien sur un sac à dos. Il sera préférable de le brancher à une batterie externe plutôt que directement sur un appareil car la sortie n’est jamais vraiment stable, elle dépend de l’ensoleillement.

Aujourd’hui, le panneau le plus fiable et le plus performant est le Anker 21 Watts. Lorsque je faisais mon voyage à vélo j’utilisais un Goal Zero qui n’était vraiment pas performant et qui se mettait en sécurité lorsqu’il faisait trop chaud. J’ai rencontré plusieurs voyageurs à vélo qui utilisaient le Anker 21W, c’est aujourd’hui encore la référence. Il fonctionne très bien même par temps couvert. Sur certains appareils, après le passage d’un nuage il faut débrancher et rebrancher la batterie pour qu’elle continue sa charge. Sur le Anker c’est très bien géré automatiquement. C’est donc celui que je recommanderais.

LA BATTERIE EXTERNE POUR LE VOYAGE À VÉLO OU À PIED

La sortie d’un panneau solaire n’étant pas stable il est préférable d’y connecter une batterie externe plutot que directement un appareil électronique. A l’époque, j’utilisais une batterie spécifique pour mon macbook air. Les temps ont changés et avec l’arrivée de l’USB-C on peut utiliser n’importe quelle batterie tant qu’elle est pourvu d’une sortie PD (Power Delivery) de plus de 29W.

Il faut savoir que plus l’ordinateur sera puissant, plus il demandera d’énergie. Par exemple un macbook air est parfait comme odinateur nomade car un chargeur avec une PD de 45w permettra de le charger correctement tandis que sur un Macbook Pro 15″ ce même chargeur ne fera que maintenir le niveau de charge de la batterie.

Donc le mieux est de trouver un chargeur dont la PD est la plus grande possible pour être à l’aise avec l’ensemble de vos appareils multimédia. Privilégier un ordinateur 13″ maximum avec port USB-C.

Après un comparatif de performance sur l’ensemble des batteries externes du marché, je pense que les meilleures batteries externes actuellement sont les Anker PowerCore III Elite avec une sortie PD de 60W et la Zendure Super Tank avec une sortie PD de 100W jusqu’à 50% de charge puis 60W en dessous. Les deux sont capable de charger un MacbookPro 15″.

FAITES DES TESTS PRÉALABLES

Il serait dommage de vous rendre compte lors de votre aventure que ça ne marche pas comme prévu. Je vous recommande donc de faire des tests préalable à votre aventure. Il existe un super soft sur Mac pour étudier tous les paramètres de charge de votre ordinateur. Il s’agit de CoconutBattery

Chargez votre powerbank avec votre panneau solaire en chronométrant le temps de charge, puis chargez votre ordinateur (matériel le plus gourmand) avec votre powerbank et faites des tests avec vos logiciels d’édition photo/vidéo et étudiez le niveau de charge avec coconutbattery pour voir comment se comporte votre batterie externe. 

Sachez qu’il est toujours bon de redonner un petit coup de boost une fois de temps en temps en rechargeant votre batterie externe sur secteur au moins une fois par mois.

CONCLUSION

Vous voilà donc prêt(e)s à partir sereinement! Si vous avez quelque chose à ajouter à cet article, une remarque ou des questions, vous pouvez commenter ci-dessous. 

En 2016, je suis parti de Nouvelle Zélande avec pour objectif de rejoindre la France le tout en utilisant aussi peu que possible l’utilisation de moteurs. J’ai donc voyagé à vélo et bateau stop pendant un an et demie. Découvrez comment j’ai réussi à travailler et voyager à vélo en passant dans des zones non couvertes par le réseau téléphonique.

Connaissez-vous Coworkees? C’est un site internet dont l’objectif est de mettre en relation des entreprises avec des freelances. Ils organisent les cafés freelances qui permettent aux freelances de se rencontrer et de réseauter.

Lors de chaque café freelance, 3 freelances présentent chacun un speech sur le sujet de son choix en lien avec la vie de freelance. Chaque présentation doit respecter un format bien précis: 5 minutes / 15 slides de 20 secondes chacun.

Depuis l’événement du coronavirus, les cafés freelance ne se font plus en physique mais sur internet. Voici donc ma présentation vidéo enregistrée.

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